Au loin, j'entends les sirènes
Je vois les lumières des phares
Je sens le souffle qui parachève
Le spectacle et la fanfare
Je veux voir la vie en couleur
Traverser l'espace en musique
Parsemer ma route de bonheur
Et transmettre au monde la technique
De ma fenêtre, j'observe
Le monde dans l'effervescence
J'aime sortir de ma réserve
Sans barrière, plus d'incidence
Le soleil s'est levé sur ma bonne humeur
Je ne pouvais plus dormir sur le malheur
J'ai ouvert les yeux sur ma vie,
Retiré les draps de l'indifférence
Parsemé de couleurs mes habits
Et pris la voie l'existence
L'imprudence est de rester dans l'ombre
Prendre le risque de vivre
Et arriver en nombre
Sur l'autel, et poursuivre
J'ai souris au soleil
Il m'a rendu la pareille
Que ma journée s'égaille
Quant tes lèvres rejoignent les miennes
Alors j'entends mon cœur sonner
Et je ne peux m'expliquer
Combien je t'aime
Ma vie qui s'exprime en poèmes
Le soleil s'est levé sur ma bonne humeur
Je ne pouvais plus dormir sur le malheur
J'ai ouvert les yeux sur ma vie,
Retiré les draps de l'indifférence
Parsemé de couleurs mes habits
Et pris la voie l'existence
Corsii
Je vois les lumières des phares
Je sens le souffle qui parachève
Le spectacle et la fanfare
Je veux voir la vie en couleur
Traverser l'espace en musique
Parsemer ma route de bonheur
Et transmettre au monde la technique
De ma fenêtre, j'observe
Le monde dans l'effervescence
J'aime sortir de ma réserve
Sans barrière, plus d'incidence
Le soleil s'est levé sur ma bonne humeur
Je ne pouvais plus dormir sur le malheur
J'ai ouvert les yeux sur ma vie,
Retiré les draps de l'indifférence
Parsemé de couleurs mes habits
Et pris la voie l'existence
L'imprudence est de rester dans l'ombre
Prendre le risque de vivre
Et arriver en nombre
Sur l'autel, et poursuivre
J'ai souris au soleil
Il m'a rendu la pareille
Que ma journée s'égaille
Quant tes lèvres rejoignent les miennes
Alors j'entends mon cœur sonner
Et je ne peux m'expliquer
Combien je t'aime
Ma vie qui s'exprime en poèmes
Le soleil s'est levé sur ma bonne humeur
Je ne pouvais plus dormir sur le malheur
J'ai ouvert les yeux sur ma vie,
Retiré les draps de l'indifférence
Parsemé de couleurs mes habits
Et pris la voie l'existence
Corsii