J’ai enfin compris
Je suis une âme torturée
Je dois l’accepter
Pour pouvoir être en vie
Le mal-être enferme
Il vous ronge et vous transforme
Cette cicatrice indélébile
Qui finalement nous annihile
Je suis retombé sur de vieux sons
Où j’ai reconnu cet autre que je fuis
Celui qui est triste sans raison
Celui qui reste seul pour tuer l’ennui
J’ai beaucoup pleuré
Pensant laver les douleurs
Mais ça ne m’a rien apporté
Le fardeau c’est mon malheur
Rien ne pourra remplacer
Tout ce que j’ai perdu
Mais il faut pouvoir accepter
Profiter du temps qui nous est dû
Je suis retombé sur de vieux sons
Où j’ai reconnu cet autre que je fuis
Celui qui est triste sans raison
Celui qui reste seul pour tuer l’ennui
Mais j’ai finalement compris
J’ai regardé dans vos yeux
J’y ai trouvé des amis
Qui admettent que je fais de mon mieux
C’est par là que passera mon salut
Une forme de rédemption
Si j’admets avec raison
Que seul, nous sommes nus
Corsii
Je suis une âme torturée
Je dois l’accepter
Pour pouvoir être en vie
Le mal-être enferme
Il vous ronge et vous transforme
Cette cicatrice indélébile
Qui finalement nous annihile
Je suis retombé sur de vieux sons
Où j’ai reconnu cet autre que je fuis
Celui qui est triste sans raison
Celui qui reste seul pour tuer l’ennui
J’ai beaucoup pleuré
Pensant laver les douleurs
Mais ça ne m’a rien apporté
Le fardeau c’est mon malheur
Rien ne pourra remplacer
Tout ce que j’ai perdu
Mais il faut pouvoir accepter
Profiter du temps qui nous est dû
Je suis retombé sur de vieux sons
Où j’ai reconnu cet autre que je fuis
Celui qui est triste sans raison
Celui qui reste seul pour tuer l’ennui
Mais j’ai finalement compris
J’ai regardé dans vos yeux
J’y ai trouvé des amis
Qui admettent que je fais de mon mieux
C’est par là que passera mon salut
Une forme de rédemption
Si j’admets avec raison
Que seul, nous sommes nus
Corsii