Si jeune et pourtant déjà si vieux
Le temps file à toute allure
Plus le temps de se dire heureux
Car aujourd'hui rien ne dure
Les gens passent sans se regarder
Marcher vite, mot d'ordre de la mobilité
Prendre le train, ne pas s'arrêter
Prendre le temps de vivre, futilité
Comment construire sa vie
Dans un monde hostile ?
Il bâtissait de ses mains sa ville
Pas à pas, dessinait les grandes lignes
Il n'interprétait pas les signes
Voulait juste remplir ses envies
Mais ils courent à leur perte
La Terre qui si lentement
Par son rythme lancinant
Brandit le signal d'alerte
A trop user les piliers
Notre modèle finit par s'effondrer
Il faut apprendre à se connaître
Oser, qu'enfin on s'arrête
Comment construire sa vie
Dans un monde hostile ?
Il bâtissait de ses mains sa ville
Pas à pas, dessinait les grandes lignes
Il n'interprétait pas les signes
Voulait juste remplir ses envies
Il fallait prendre les outils en mains
Se poser, observer la nature
Écouter les pas, les murmures
Ce que nous conte le destin
Ne plus sombrer dans les abîmes
Prendre le temps d'apprécier
Tous les fruits du vergé
Et la chance qui nous arrive
Comment construire sa vie
Dans un monde hostile ?
Il bâtissait de ses mains sa ville
Pas à pas, dessinait les grandes lignes
Il n'interprétait pas les signes
Voulait juste remplir ses envies
Corsii
Le temps file à toute allure
Plus le temps de se dire heureux
Car aujourd'hui rien ne dure
Les gens passent sans se regarder
Marcher vite, mot d'ordre de la mobilité
Prendre le train, ne pas s'arrêter
Prendre le temps de vivre, futilité
Comment construire sa vie
Dans un monde hostile ?
Il bâtissait de ses mains sa ville
Pas à pas, dessinait les grandes lignes
Il n'interprétait pas les signes
Voulait juste remplir ses envies
Mais ils courent à leur perte
La Terre qui si lentement
Par son rythme lancinant
Brandit le signal d'alerte
A trop user les piliers
Notre modèle finit par s'effondrer
Il faut apprendre à se connaître
Oser, qu'enfin on s'arrête
Comment construire sa vie
Dans un monde hostile ?
Il bâtissait de ses mains sa ville
Pas à pas, dessinait les grandes lignes
Il n'interprétait pas les signes
Voulait juste remplir ses envies
Il fallait prendre les outils en mains
Se poser, observer la nature
Écouter les pas, les murmures
Ce que nous conte le destin
Ne plus sombrer dans les abîmes
Prendre le temps d'apprécier
Tous les fruits du vergé
Et la chance qui nous arrive
Comment construire sa vie
Dans un monde hostile ?
Il bâtissait de ses mains sa ville
Pas à pas, dessinait les grandes lignes
Il n'interprétait pas les signes
Voulait juste remplir ses envies
Corsii